Francis Cabrel va néixer a Agen (França) el 23 de novembre del 1953. L'escoltem cantar Je l'aime à mourir, i us oferim la versió que en van fer Pau Donés i Alejandro Sanz amb La quiero a morir.
Moi je n'étais rien
Et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira
Elle n'a qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l'aime à mourir
Elle a gommé les chiffres
Des horloges du quartier
Elle a fait de ma vie
Des cocottes en papier
Des éclats de rire
Elle a bâti des ponts
Entre nous et le ciel
Et nous les traversons
À chaque fois qu'elle
Ne veut pas dormir
Ne veut pas dormir
Je l'aime à mourir
Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd'hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l'amour aussi
Elle vit de son mieux
Son rêve d'opaline
Elle danse au milieu
Des forêts qu'elle dessine
Je l'aime à mourir
Elle porte des rubans
Qu'elle laisse s'envoler
Elle me chante souvent
Que j'ai tort d'essayer
De les retenir
De les retenir
Je l'aime à mourir
Pour monter dans sa grotte
Cachée sous les toits
Je dois clouer des notes
À mes sabots de bois
Je l'aime à mourir
Je dois juste m'asseoir
Je ne dois pas parler
Je ne dois rien vouloir
Je dois juste essayer
De lui appartenir
De lui appartenir
Je l'aime à mourir
Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd'hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l'amour aussi
Moi je n'étais rien
Et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira
Elle n'aura qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l'aime à mourir
Y yo que hasta ayer sólo fui un holgazán
y hoy soy el guardián de sus sueños de amor.
La quiero a morir.
Podéis destrozar todo aquello que veis
porque ella de un soplo lo vuelve a crear.
Como si nada, como si nada. La quiero a morir.
Ella para las horas de cada reloj
y me ayuda a pintar transparente el dolor
con su sonrisa.
Y levanta una torre desde el cielo hasta aquí
y me cose unas alas y me ayuda a subir
a toda prisa, a toda prisa. La quiero a morir.
Conoce bien cada guerra, cada herida, cada ser.
Conoce bien cada guerra de la vida
y del amor también.
Me dibuja un paisaje y me lo hace vivir
en un bosque de lápiz se apodera de mí.
La quiero a morir.
Y me atrapa de un lazo que no aprieta jamás
como un hilo de seda que no puedo soltar.
No puedo soltar, no quiero soltar. La quiero a morir.
Cuando trepo a sus ojos me enfrento al mar
dos espejos de agua encerrada en cristal.
La quiero a morir.
Solo puedo sentarme solo puedo charlar,
solo puedo enredarme solo puedo aceptar
ser solo suyo, ser solo suyo. La quiero a morir.
Conoce bien cada guerra, cada herida, cada ser.
Conoce bien cada guerra de la vida
y del amor también.
Conoce bien cada guerra, cada herida, cada ser.
Conoce bien cada guerra de la vida
y del amor también.
Conoce bien cada guerra, cada herida, cada ser.
Conoce bien cada guerra de la vida
y del amor también.
Y yo que hasta ayer solo fui un holgazán
y hoy soy el guardián de sus sueños de amor.
La quiero a morir.
Podéis destrozar todo aquello que veis
porque ella de un soplo lo vuelve a crear.
Como si nada, como si nada.
La quiero a morir.